jeudi 27 novembre 2008

Les prix de la location commencent à baisser!


Loyers : la baisse des prix a commencé


Après la baisse des prix de vente, place au déclin des loyers. Le baromètre Seloger.com du mois novembre, à paraître dans les prochains jours, révèle en effet des baisses de prix sur les biens mis en location depuis la rentrée.


...plus ici ...

vendredi 21 novembre 2008

BNP Paribas: baise des prix de l'immobilier entre -30% et -40%

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Les prix des logements anciens ont cru [... au cours des dix dernières années [...] de 191% à Paris. [...] La capitale enregistre actuellement une importante baisse des transactions et ne devrait pas faire longtemps exception. [...] Une baisse des prix réels comprise entre 30% et 40% nous parait probable, à l'issue d'un ajustement qui s'étalerait sur plusieurs anées. source


Ca vaut le coup d'attendre quelques années! Surtout que... s'ils osent parler de -40% la baisse sera sûrement supérieure à ça!

lundi 10 novembre 2008

Un site qui liste l'immobilier qui ne se vend plus ...


Il s'agit du site PetitsCailloux.com. Et contraire à ce qu'on entend dans le media, le marche à Paris va mal... il y a des propriétés qui ne se vendent plus et les prix baissent! Mais attention, ce n'est pas encore le bon moment d'acheter... il faut attendre car ça doit baisser encore plus!




[...]
un bien «mort» est un bien qui ne se vend pas, qui traîne dans l'agence depuis déjà plusieurs mois, voire des années.»


[...]
Pas sorti de terre et déjà à la baisse


En toute logique, ces biens invendus perdent au fil du temps de leur valeur. A Paris, dans le 13ème arrondissement, un 100 m2 en très bon état, mis en vente depuis février 2007, a déjà perdu 38.43% de sa valeur. Pourtant, à 548 000 euros, il trouve difficilement preneur. Les trois premiers logements «morts» recensés dans la capitale ont ainsi chuté de plus de 30%. Dans la fourchette des décotes situées entre -20% et -30%, sept logements sont listés. Et entre 10% et 20% de baisse, les biens revus à la baisse sont légion. Pourtant à Paris, selon les professionnels de l'immobilier, le retournement du marché n'est toujours pas à l'ordre du jour.


source


Et en dehors de Paris, il y a des biens qui ont déjà perdu jusqu'à 70% de sa valeur:


[...] En Rhône-Alpes, une petite maison de village mise en vente en mai 2007, affiche une belle baisse de son prix : -68.84%. Ou encore cet appartement de 37.3 m2, encore en construction dans le 2e arrondissement de Lyon : il ne sera livré qu'au quatrième trimestre 2009 et pourtant, son prix a déjà chuté de 64.74%, à 137 500 euros. [...] Dans les Landes, une maison de plein pied de 120 m2, proche de l'océan, affiche un prix de vente à 260 000 euros, après une baisse de 71.72%.


source


Bien sur, les prix étaient surévalués. Même avec la baisse d'aujourd'hui la plus part de l'immobilier va continuer à perdre de la valeur. N'oubliez pas que l'immobilier en France était surévalué de 140%. Les prix vont souffrir une correction dans les années à venir....

jeudi 6 novembre 2008

Le prix du petrole va augmenter...

Le prix du pétrole avait baissé, mais il a recommencé à remonter: les producteurs de pétrole ont décidé de diminuer la production.


Selon le journal The Telegraph, les analystes croient que le pétrole va continuer à augmenter de prix et va se stabiliser à un prix d'environ $100 le baril l'année prochaine. source


.... C'est étonnant quand même, il y a 10 ans le prix était de $10 le baril... Je me souviens bien que juste avant la guerre en Irak le baril était a $34 le baril..

dimanche 2 novembre 2008

Après la bulle immobilière, une nouvelle bulle éclate et agrave la crise!

Toute la crise financière que nous sommes en train de vivre à été provoqué pour la spéculation immobilière des dernières 10 années (juste en France l'immo a été surévalué de 140% ). Après l'éclatement de la bulle immobilière, la situation commence a changer... mais l'éclatement de la bulle des pays émergents risque d'aggraver encore plus la crise.... et cette fois l'épicentre de la crise serait en Europe... (gulp!)



[...]


La crise financière qui se répand comme une traînée de poudre dans tout l’ex-bloc soviétique menace de déclencher une deuxième crise bancaire en Europe de l’Ouest, encore plus dangereuse, entraînant l’ensemble du continent dans un véritable marasme économique.


[...]
Les experts craignent que ce chaos ne puisse bientôt déclencher une réaction en chaîne au sein de la zone euro elle-même. Le risque réside en une augmentation brutale de la fuite des capitaux quittant l’Autriche et des pays du « Club Med » qui tablent sur les financements de l’étranger pour couvrir les énormes déficits de leurs balances des comptes courants.


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Les données les plus récentes de la Banque des Règlements Internationaux montrent que les banques d’Europe occidentale ont dans leurs livres la quasi-totalité de l’exposition au risque né du dégonflement de la bulle sur les marchés émergents.


Elles détiennent les trois-quarts du total 4 700 milliards des prêts bancaires octroyés en Europe de l’Est, en Amérique Latine et dans les pays émergents d’Asie lors du dernier boom mondial du crédit. Cette somme dépasse largement les montants de la débâcle des crédits hypothécaires US.


L’Europe a déjà eu un premier avant-goût de ce que cela pourrait signifier. Les mésaventures de l’Islande lui a coûté 74 milliards de dollars. Les Allemands ont perdu 22 milliards.


Stephen Jen, responsable du secteur des devises chez Morgan Stanley, affirme que le crash des marchés émergents est un risque largement sous-estimé. Il menace de devenir « le deuxième épicentre de la crise financière mondiale », qui concernerait cette fois-ci l’Europe et non plus les USA.


L’exposition des banques autrichiennes sur les marchés émergents est égale à 85% du PIB - avec une forte concentration en Hongrie, en Ukraine et en Serbie - qui tous, avec la Biélorussie, se pressent à la porte du FMI pour obtenir des prêts pour leur sauvetage.


Le montant de cette exposition au risque représente 50% du PIB en Suisse, 25% en Suède, 24% au Royaume-Uni, et 23% en Espagne. Aux États-Unis elle n’est que de 4%. L’Amérique restera spectatrice durant ce nouvel épisode.


[...]


source